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Vendredi 16 mars 2018
t. 1 : Genèse du suicide de l’Algérie française, 912 p.
t. 2 : Mythes du suicide de l’Algérie française, 880 p.
Les ouvrages peuvent être commandés en ligne ou à F. Mézières, BP 90107 - 24004 Périgueux Cedex - 32 € le tome, 64 € les deux, franco de port
« Pour la première fois dans l’historiographie de la guerre d’Algérie, l’analyse des archives du service historique de la Défense, des archives nationales d’outre-mer d’Aix-en-Provence et des archives nationales de Pierrefitte-sur-Seine permet de décrypter la fusillade du 24 janvier 1960 à Alger et d’identifier les responsables de l’assassinat de 14 militaires de la gendarmerie mobile - le service d’ordre le plus meurtrier de l’histoire de la gendarmerie mobile - sept manifestants de souche européenne et un insurgé de nationalité polonaise. Le tome 1 - Alger, 24 janvier 1960. Genèse du suicide de l’Algérie française - débute par un rappel historique de la pratique du maintien de l’ordre en Algérie (Sétif 8 mai 1945, Alger 6 février 1956, 29 décembre 1956 et 13 mai 1958) et des opérations militaires conduites en 1955 contre les premières bandes armées du FLN, avant de présenter les activistes Algérie française, les responsables militaires et les 64 chefs opérationnels (commandants de sous-groupement, d’escadron et de peloton) des 15 escadrons de gendarmerie mobile engagés le 24 janvier 1960. L’analyse du renvoi en France du général Massu puis du déroulement de la manifestation durant la journée du 24 janvier 1960 permet de comprendre les prolégomènes de la fusillade qui vise 1074 militaires de la gendarmerie mobile durant 37 minutes sur le boulevard Laferrière et le Plateau des Glières. »
Voir le compte rendu de J.-N. Luc sur le site de l’AHCESR
Page créée le mercredi 28 février 2018, par Dominique Taurisson-Mouret.
