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Séances de séminaires terminées
Lundi 12 février 2024, 14 h-16 h : « Contester les statues dans une ancienne colonie – le cas réunionnais-1 »
Séance 4 – Contester les statues dans une ancienne colonie – le cas réunionnais, lundi 12 février, 14h-16h
Intervention :
•La statue de Mahé de La Bourdonnais à Saint-Denis de La Réunion : Histoire et mémoires, Bruno Maillard, historien, Centre de Recherches sur les Sociétés de l’Océan Indien, et Loran Hoarau, chargé de mission pour la ville de Saint-Denis
Lundi 18 mars 2024, 14 h-17 h : « Contester les statues dans une ancienne colonie – le cas antillais-2 »
Séance 5 – Contester les statues dans une ancienne colonie – le cas antillais, lundi 18 mars, 14h-17h
Interventions :
•La destruction des statues de Victor Schoelcher en Martinique en 2020 une exigence de mémoire, de récit et de politique des savoirs, Rodolphe Solbiac, Maître de Conférences en Littératures et Cultural Studies de la Caraïbe Anglophone, Université des Antilles
•Penser l’histoire et le devenir des collections de Victor Schœlcher au prisme du déboulonnage des statues, Alexandre Girard-Muscagorry, Musée de la musique, Philharmonie de Paris, EHESS, Centre de recherche sur les arts et le langage
•La statue du Nèg Mawon, Cannelle Boisdur, étudiante en histoire, Université des Antilles
•La Guadeloupe et ses statues, un laboratoire décolonial ? Marie-Christine Touchelay, historienne, IDHES
Ce séminaire aborde la question des contestations de monuments dans l’espace public. Il propose de réunir et de faire dialoguer des chercheurs et des chercheuses de différentes disciplines (histoire, histoire de l’art, sociologie, droit, etc.), mais aussi des acteurs et des actrices du monde associatif ou de la société civile, pour engager la discussion sur la manière dont les monuments participent à produire et à inscrire des mémoires dans l’espace public. Le séminaire envisage pour cela les mémoires dans leurs dimensions processuelles, évolutives dans le temps et souvent conflictuelles. L’objectif pour cette première année est double : il s’agit d’abord de poser des jalons théoriques pour l’étude des monuments, avant de présenter des études de cas de statues contestées.
Il est organisé par l’équipe du projet Cast in Stone (AHRC – Labex “les passés dans le présent”), qui cartographie les statues contestées liées à l’histoire coloniale en France et en Grande-Bretagne. Cette équipe est composée d’historiennes de l’art : Claire Garcia et Anna Seiderer et d’historiennes : Julie Marquet, Emmanuelle Sibeud et Marie-Christine Touchelay. Il est soutenu par l’IDHES (UMR 8533).
Possibilité d’assister à distance en contactant julie.marquet chez univ-littoral.fr ou esibeud chez univ-paris8.fr
Séance 1 – Aborder les monuments, lundi 9 octobre
Intervention : Deux artistes face au monument, Sophie-Anne Leterrier, historienne
Séance 2 – Concevoir et rendre accessibles des bases de données sur les monuments et les lieux de mémoire, lundi 11 décembre à l’Université Paris Nanterre au rez-de-chaussée du bâtiment Grappin, salle B16
Interventions de Ghislaine Glasson-Deschaumes, directrice de la MSH Mondes, coordinatrice du Labex les passés dans le présent, Dominique Taffin, archiviste-paléographe, directrice de la Fondation pour la mémoire de l’esclavage et Catherine Chevillot, présidente, conservatrice générale, Cité de l’architecture et du patrimoine.
Séance 3 – Les transformations de l’espace public, lundi 15 janvier
Présentation de Dé-commémorations. Quand le monde déboulonne des statues et débaptise des rues (2023) par Sarah Gensburger, sociologue, directrice de recherches au CNRS
Séance 4 – Contester les statues dans une ancienne colonie – le cas réunionnais, lundi 12 février, 14h-16h
Intervention : La statue de Mahé de La Bourdonnais à Saint-Denis de La Réunion : Histoire et mémoires, Bruno Maillard, historien, Centre de Recherches sur les Sociétés de l’Océan Indien, et Loran Hoarau, chargé de mission pour la ville de Saint-Denis
Séance 5 – Contester les statues dans une ancienne colonie – le cas antillais, lundi 18 mars, 14h-17h
Interventions :
•La destruction des statues de Victor Schoelcher en Martinique en 2020 une exigence de mémoire, de récit et de politique des savoirs, Rodolphe Solbiac, Maître de Conférences en Littératures et Cultural Studies de la Caraïbe Anglophone, Université des Antilles
•Penser l’histoire et le devenir des collections de Victor Schœlcher au prisme du déboulonnage des statues, Alexandre Girard-Muscagorry, Musée de la musique, Philharmonie de Paris, EHESS, Centre de recherche sur les arts et le langage
•La statue du Nèg Mawon, Cannelle Boisdur, étudiante en histoire, Université des Antilles
•La Guadeloupe et ses statues, un laboratoire décolonial ? Marie-Christine Touchelay, historienne, IDHES
Séance 6 –Quelle histoire de la gestion du patrimoine en France et en Grande-Bretagne ? lundi 8 avril
Interventions :
•Quelle protection pour le patrimoine bâti français ? Héritages, contextes et particularités, Jérôme Fromageau, doyen honoraire de la Faculté Jean Monnet de l’Université Paris-Sud / président de l’ISCHAL
•Quelle(s) protection(s) pour le patrimoine bâti britannique ? Héritages, contextes et particularités, Raphaël Willay, maître de conférences en civilisation des Îles Britanniques, Université du Littoral Côte d’Opale, laboratoire HLLI
Séance 7– Le cas des églises britanniques : monuments et plaques dans des espaces non publics, lundi 6 mai
Interventions :
•Community engagement as historical method : The East India Company statues project at St. Paul’s Cathedral, London, Nandini Chatterjee, historienne, Professor, Exeter University
• Westminster Abbey, un haut lieu de la statuaire coloniale britannique ? L’exemple de l’Asie du Sud, Anne-Julie Etter, historienne, Maîtresse de conférences, CY Cergy Paris Université, UMR 9022 Héritages
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