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Archives nationales d’outre-mer Aix-en-Provence, 4 et 5 mars 2010
Jeudi 4 mars 2010
9 h-12 h30 : Présidence de Martine Cornède, directrice des ANOM
Ouverture : Daniel Lefeuvre
Discours et pratiques des décolonisations
Armelle Enders, Université Paris IV, La reconnaissance de l’indépendance du Brésil par le Portugal en 1825.
Richard Drayton, King’s College de Londres, Les origines intellectuelles de la décolonisation de l’empire britannique, de 1839 à 1960.
Florence Gillet, Centre d’études et de documentation Guerre et Sociétés contemporaines, Bruxelles, Les anciens coloniaux belges face à l’indépendance du Congo. Entre discours et réalité.
Eloy Martin Coralès, Université autonome de Barcelone, Une si frustrante décolonisation : l’Espagne quitte l’Afrique, 1956-1975.
Keese Alexander, Centre d’études africaines, Université de Porto, Retourner à la normalité en pleine guerre ou décoloniser clandestinement ? Révolte, ’loyauté’, réforme, et négociations en Angola, 1955-1974.
Berny Sebe, Université de Birmingham, Les Etats-Unis et la décolonisation du Sahara français : une non-intervention bienveillante ?
Véronique Dimier, Université libre de Bruxelles, Recycler l’empire : des pratiques coloniales aux pratiques développementalistes.
14 h-17 h30 : Présidence de Samia El Mechat
Démontages administratifs et juridiques
Martine Cornède et Daniel Hick, Archives nationales d’outre-mer, Les archives de l’empire colonial français : transferts et repliements.
Florence Renucci, Centre d’histoire judiciaire (CNRS), Lille 2, Les professeurs de droit face au démontage des empires.
Francis Simonis, Université de Provence, Vers une africanisation de l’administration en Afrique noire : les nouvelles formes de recrutement à l’ENFOM, 1955-1960.
Bernard Durand, Histoire du droit des colonies (CNRS), Montpellier 1, Faire ou défaire : Les magistrats en décolonisation.
Martine Fabre, Histoire du droit des colonies (CNRS), Montpellier 1, La justice marocaine à l’épreuve de l’indépendance : une transition judiciaire assistée.
Marc Michel, Université de Provence, De l’Université française aux Universités nationales en Afrique francophone, de la Seconde Guerre mondiale aux années 1970.
Nathalie Rezzi, Université de Provence, Les effigies des gouverneurs et leur devenir.
Vendredi 5 mars 2010
9 h-12 h30 : Présidence de Marc Michel
Réalités des démontages
Arnaud Nanta, INALCO, La décolonisation japonaise (1945-1949) : le démontage de l’empire colonial, les replis et occupations, les politiques d’assistance aux rapatriés, la mémoire.
Tony Chafer, University of Portsmouth, Décoloniser pour mieux rester : France-Sénégal 1956-1965.
Daniel Lefeuvre, Université Paris 8, Le repli en métropole des Français d’Algérie, entre prévisions et improvisations.
Nathalie Tousignant, Université Saint-Louis, Bruxelles, Les rapatriés du Congo belge : précipitation, violence et sécession (Juin 1960 – Janvier 1961).
Jean-Paul Bruckert , Université Paris 8, Quitter Ferryville.
Jacques Frémeaux,Université Paris IV, Un démontage familial (Algérie 1962).
Gilles de Gantès, Collaborateur externe IRSEA, Ces français qui sont restés en Indochine après l’indépendance.
Paul Samuel, Caisse des Dépôts et Consignation, La reconversion des anciens élèves de l’ENFOM.
14 h-17 h30 : Présidence de Tony Chafer
Les démontages économiques
Caroline Piquet, Université Paris IV, Le démontage des structures économiques coloniales en Egypte, du traité anglo-égyptien à la crise de Suez, 1936- 1956.
Dominique Barjot, Université Paris IV, Les entreprises de travaux publics face aux décolonisations.
Samia El Mechat, Université de Nice – IHTP, La déstabilisation des intérêts économiques, financiers et domaniaux de la France en Tunisie, 1957-1964.
Claude Malon, Université Paris IV, La sortie d’empire des milieux d’affaires havrais : validation des pratiques et agencement de l’imaginaire.
Remko Raben, Amsterdam, « Quitter Java ».
Jean Fremigacci, Université Paris I, De la première à la seconde indépendance de Madagascar (1960- 1973). Le repli français : contraint ou calculé ?
Michel Margairaz, Université Paris I, Analyses bancaires des décolonisations.
Conclusion : Michel Margairaz
Page créée le lundi 15 février 2010, par Dominique Taurisson-Mouret.